Depuis 2006, le Festival du Film Vert présente des documentaires sur les thèmes de l’environnement, la nature et l’écologie en général.
Festival du Film Vert, le cinéma pour un futur durable du 12 au 28 mars dans tout le canton de Genève
Le film coup de cœur 2024 du comité de sélection du Festival est Sœurs de combat, d’Henri de Gerlache. Ce documentaire dresse des portraits croisés de plusieurs jeunes femmes dont le courage et détermination sont particulièrement inspirants et porteurs d’espoir. Sœurs de combat sera projeté plus de 50 fois durant le Festival, en mi-mars à Genève. La 19ème édition continue jusqu’au 14 avril ans 90 villes de Suisse et de France avec près de 400 projections prévues sur six semaines ans plus de 100 lieux différents. Une soixantaine de films documentaires pour montrer la beauté de la nature, l’importance de la protéger, et proposer des pistes pour y parvenir. Des invités qui interviendront après les films, des ateliers et autres animations autour du développement durable. Soirée dévolue aux actions concrètes permettant de contrer la surconsommation, le gaspillage de matériaux et de biens grâce à l’économie circulaire participative et locale avec projection des films : Mode à tout prix (en présence de la réalisatrice Isabelle Aeschlimann) et Lancers de défis solidaires circulaires durables (en présence du réalisateur Yves Magat) vendredi 22 dès 18h30 dans l‘Aula de l’Ecole des Boudines à Meyrin, + d’infos. Le programme à Genève
Festival du Film Vert, 19ème édition du 2 mars et jusqu’au 14 avril ans 90 villes de Suisse et de France
Près de 400 projections prévues sur six semaines ans plus de 100 lieux différents. Une soixantaine de films documentaires pour montrer la beauté de la nature, l’importance de la protéger, et proposer des pistes pour y parvenir. Des invités qui interviendront après les films, des ateliers et autres animations autour du développement durable. Pro
Pour la première fois, un film se voit attribuer deux récompenses : Ruptures, d’Arthur Gosset, a séduit aussi bien le jury du Prix Jouvence que celui du Prix Albert Schweitzer. Ce film, porteur d’espoir, raconte l’histoire de jeunes dont le destin était tout tracé, mais qui renoncent à l’avenir qu’on leur promettait pour une vie qu’ils jugent plus compatible avec les enjeux environnementaux et sociétaux de notre époque. Ruptures sera projeté 17 fois durant le Festival, notamment lors de la soirée d’ouverture qui aura lieu le 2 mars au Sentier (Vallée de Joux), en présence du réalisateur.
Parmi les films à voir Naïs au pays des loups, de Rémy Masseglia, l’histoire d’un père qui, durant plus de deux ans, a emmené sa fille Naïs, âgée d’un an au début du film, à la rencontre de la faune du Mercantour. Le Retour du Balbuzard, de Stephan Rytz, qui conte la réintroduction en Suisse de ce grand rapace, Plastique, le suicide collectif ? de Peter Charaf, qui attire notre attention sur les risques sanitaires du plastique, ou encore Les Têtes givrées, de Stéphane Cazes, une fiction qui raconte comment un professeur réussit à intéresser ses élèves aux questions climatiques qui décident alors de tout tenter pour protéger un glacier. Le dernier film de Yann Arthus-Bertrand, Vivant, ainsi qu’un florilège de courts-métrages. Le film coup de cœur 2024 du comité de sélection du Festival est Sœurs de combat, d’Henri de Gerlache. Ce documentaire dresse des portraits croisés de plusieurs jeunes femmes dont le courage et détermination sont particulièrement inspirants et porteurs d’espoir. Sœurs de combat sera projeté plus de 50 fois durant le Festival, en mi-mars à Genève, dont le samedi 23 mars à la Ferme de la Touvière, + d’infos.
Le Festival est maintenant solidement implanté en France où environ un tiers des projections auront lieu, de Granville (Normandie) à Peymeinade (Alpes maritimes) en passant par Strasbourg et bien sûr les régions frontalières, ainsi qu’au Tessin avec un beau programme à Locarno et à Lugano.
18e Festival du Film Vert, le cinéma pour un futur durable du 4 mars au 9 avril 2023 dans 80 villes de Suisse et de France
Plus de 300 projections de films documentaires dans toute la Suisse romande, au Tessin, dans plusieurs communes françaises et même dans trois pays d’Afrique. Des projections dans 87 endroits différents, un record! De nombreux invités, des ateliers et différentes activités autour de l’écologie et du développement durable sont prévues durant les cinq semaines que durera l’événement. Côté programmation, une belle place est faite à des films porteurs d’espoir : malgré un contexte mondial très difficile avec les crises climatiques et énergétiques, les guerres et les catastrophes, d’innombrabres initiatives citoyennes voient le jour partout sur la planète pour proposer une autre façon de consommer, de vivre même, plus respectueuse de notre environnement. C’est le sujet du film Les gardiens du climat, d’Erik Fretel, qui recevra le Prix Albert Schweitzer le 4 mars à Yverdon-les-Bains, lors de la cérémonie d’ouverture du Festival. Le Prix Jouvence, qui sera remis à la même occasion, récompensera le film Etat de nécessité, de Stéphane Goël. Ce documentaire suit les aventures judiciaires des jeunes qui ont organisé une partie de tennis dans une filiale du Crédit Suisse. Au-delà des enjeux juridiques de l’affaire, ce film permet de comprendre les motivations profondes et les inquiétudes de ces jeunes, mobilisés contre les excès de notre système. Leur engagement pour un futur durable et équitable est une magnifique source d’espoir. Le film coup de cœur 2023 du comité de sélection de l’organisation est Rewild, d’Alexis Breton. Là, ce sont des scientifiques qui, sur tous les continents, trouvent des solutions parfois étonnantes pour faire revivre la nature dans des endroits où la vie sauvage avait disparu. Ce film sera projeté plus de 50 fois durant cette édition du Festival. De nombreux autres films seront à découvrir, certains ayant pour sujet la nature, comme Le Chêne, de Michel Seydoux et Laurent Charbonnier ; la technologie low-tech, une approche consistant à concevoir et diffuser des savoirs-faire simples, durables et accessibles à tous (Low-Tech, d’Adrien Bellay) ; ou encore Legacy, le magnifique et poignant dernier film de Yann Arthus-Bertrand. Le Festival continue jusqu’au dimanche 2 avril à Genève et dans ses communes: Carouge, Meinier, Plan-les-Ouates, Meyrin, Lancy, Grand-Saconnex, Pregny-Chambésy, + d’infos.
17e Festival du Film Vert, le cinéma pour un futur durable du 5 mars au 10 avril 2022 dans 80 villes de Suisse et de France.
Après deux années compliquées en raison de la situation sanitaire, le festival de films sur l’écologie aura lieu dans des conditions normales, ce qui réjouit les organisateurs. De nombreuses discussions, débats, ateliers et autres moments conviviaux sont au programme. Seulement six mois après l’édition précédente, décalée à l’automne 2021 en raison du COVID-19, cette 17ème édition fait la part belle aux productions suisses, ce qui permettra d’organiser un grand nombre de projection en présence des réalisateurs des films. Depuis 2006, le Festival du Film Vert présente des documentaires sur les thèmes de l’environnement, la nature et l’écologie en général. Le FFV se veut un endroit où l’on peut prendre le temps de penser au futur, d’approfondir ses connaissances sur les défis qui nous attendent et surtout de s’engager pour des actions concrètes. Le Festival terminera sa tournée dans le canton de Genève du 29 mars au 10 avril. La Touvière à Meinier propose samedi et dimanche 9 et 10 avril toute la journée un programme riche dès 10h: des visites de la ferme et des projections: séances familles, débats en présence des réalisateurs, protagonistes. Le programme complet, les horaires, des extraits des films et toutes les informations pratiques sont à présent disponibles sur le site www.festivaldufilmvert.ch.
Le 16ème Festival du Film Vert, le cinéma pour un futur durable du 21 septembre au 3 octobre 2021 à Genève
Le Festival du Film Vert qui a pour but de faire découvrir des films de qualité sur le thème de l’environnement, du développement durable ou des relations nord-sud, vient depuis le 4 septembre en France dans plus de 60 sites de Suisse et en France voisine jusqu’à la mi-octobre pour un total de 250 séances du Festival du Film Vert, certains de ces films seront diffusés en «live» sur internet à la fin du festival. Dès cette semaine c’est à Genève avec l’ouverture du Festival à Genève mardi 21 septembre au Cinérama Empire avec Génération Greta. Le jury du Prix Tournesol a décidé de décerner à Douce France, un film environnemental, social qui laisse place à la jeunesse qui se mobilise contre un projet d’aménagement de centre commercial avec une piste de ski artificielle dans le triangle de Gonesse, au Nord de Paris (vendredi 24 septembre, 20h30, Cinélux, Genève, mercredi 29 septembre, 18h30, Plan-les-Ouates), ainsi qu’un prix coup de cœur pour Greenblood, cette enquête magistrale nous montre la dangerosité de l’investigation environnementale, qui peut s’avérer fatale pour les journalistes (mardi 28 septembre, Cinéma Bio Carouge). +d’infos.
La situation en matière climatique est préoccupante. Depuis 1864, la température moyenne a progressé en Suisse de 2 degrés, soit deux fois plus qu’à l’échelle du globe, avec les conséquences qu l’on sait sur l’agriculture, la santé, l’hydrologie, les forêts ou encore al biodiversite. Il est indispensable d’agir et de mettre en oeuvre des mesures clés, dans des domaines tels que la mobilité, la production et la consommation d’énergie ou encore l’aménagement du territoire. Le festival vert revient avec une programmation de qualité, qui stimule la réflexion et offre des perspectives….
Le 15ème Festival du Film Vert 2020, le cinéma pour un futur durable du 29 février et jusqu’au 14 avril 2020
A l’occasion de la 50ème Journée Mondiale de la Terre le 22 avril prochain, le Festival du Film Vert diffusera gratuitement un film en ligne, pour la première fois de son histoire.
La 16ème édition du Festival du Film Vert aurait dû se terminer ces jours, mais elle a été repoussée à l’automne et elle aura lieu du 4 septembre au 17 octobre.
Pour faire patienter, le Festival propose au public d’assister, depuis son ordinateur, à la diffusion d’un film qui a été très apprécié lors de sa présentation dans les salles : L’homme et la forêt, de Claude Schauli (Suisse, 2018). Mystérieuse, secrète, nourricière, la forêt n’a cessé de fasciner ou de susciter la peur de l’homme au fil du temps. Pour qui sait l’aimer et la protéger, elle est aussi un refuge et le lieu de toutes les observations de la nature. Si dans un passé encore proche la forêt participait à la survie des populations, elle conserve aujourd’hui un rôle essentiel de régulatrice de notre planète et contribue à la lutte contre le changement climatique. Tourné dans les forêts de l’Arc jurassien suisse, ce film va à la rencontre « d’hommes et de femmes des bois » passionnés, désireux de transmettre aux jeunes générations leurs connaissances et le respect de la nature.
La diffusion «live» débutera à 20h le jeudi 22 avril. Et de la façon que le Festival le fait habituellement dans les salles, le film sera lui aussi suivi d’une discussion en direct avec Luc Maillard, le garde forestier qui fait découvrir la forêt aux enfants. Il répondra en direct et en ligne aux questions du public, ainsi qu’à celles de Nicolas Guignard, le directeur du festival. Pour celles et ceux qui ne pourraient assister à cette séance en direct, un re-play sera disponible ensuite durant 7 jours. L’événement est gratuit (il sera possible de faire un don pour participer aux frais de la soirée) il suffit de s’inscrire pour pouvoir voir le film. Les inscriptions sont possibles dès à présent sur www.20h10.tv.
Le public genevois a pu admirer le jet d’eau vert ce samedi 7 mars, illuminé à l’occasion de l’ouverture du Festival du Film Vert 2020, dont la 15e édition de ce cinéma pour un futur durable aura du se dérouler dans plus de 80 sites, dont une quinzaine en France jusqu’au 14 avril 2020, notamment à Genève et ses communes du 24 mars au 5 avril. Le Festival du Film Vert annule ou reporte toutes les projections à partir du 13 mars 2020. Dans la mesure du possible, les séances seront reportées à une date qui sera communiquée ultérieurement, lorsque l’épidémie de COVID-19 sera passée. (en photo: Nicolas Guignard, directeur du Film Vert, Domaine de Penthes)
Ouverture du Festival le 7 mars 2020 à Pregny-Chambésy dans le domaine de Penthes qui héberge Millénium est le plus grand sablier d’Europe – clin d’oeil à l’affiche de cette 15e édition du Festival du Film Vert 2020.
Millénium, le sablier, Domaine de Penthes
Prix Tournesol 2020
Le prix principal du Festival, le Prix Tournesol du Documentaire Vert 2020 a été décerné par un jury international au film Ours, simplement sauvage, de Vincent Munier et Laurent Joffrion (France, 2019). La combinaison du message sur la fragilité de nos écosystèmes et du lien entre l’homme et la nature a séduit le jury. Ce film propose une immersion dans les décors vertigineux de la Cordillère Cantabrique, au Nord de l’Espagne. Il offre une expérience naturaliste inédite à la rencontre de l’ours des falaises. Dans le sillage de cette figure animale, emblématique et récurrente, nous découvrons des milieux naturels aux vibrations primitives, où faune et flore sont les témoins d’une nature préservée. Sur les pentes de ce massif vivent aussi le Loup gris, la Loutre d’Europe, le Vautour fauve ou la Mésange noire. Tous contribuent à restituer cette impression d’écrin originel dans lequel l’Homme a aussi sa place. Le propos du film repose sur les discours croisés de quatre personnages, français et espagnols, ayant une vision intime du monde sauvage. Il nous questionne sur notre rapport à la nature et sur l’idée d’une possible harmonie.
A gauche: Jury international décernant le Prix Tournesol 2020
Projection en avant-première la version française (sous-titrée) du film Honeyland, de Ljubo Stefanov et Tamara Kotevska (Macédoine, 2019) qui raconte la vie étonnante de Hatidze, une macédonienne d’une cinquantaine d’années, qui vit du miel qu’elle récolte dans les collines.
Deux films nominés pour le Prix Tournesol en présence de leur réalisateurs: Main basse sur l’eau, de Jérôme Fritel, France, 2019 qui a reçu le Prix du Coup de Coeur du jury qui a apprécié le travail de recherche par Jérôme Fritel, qui avait déjà gagné le PrixTournesol en 2014 pour Goldman Sachs et qui a rappelé les enjeux vitaux autour de l’eau, qui se fait rare par endroit. Les expériences de privatisation de l’eau, passées ou en cours, se terminent toujours de la même façon : un retour en arrière, mais la finance veut faire de l’eau le successeur du pétrole.
Photo: Présentation par Jérôme Fritel
La face cachée du cacao, de Paul Moreira, France, 2019 qui dévoile les condition de production de cacao en Cote d’Ivoire : déforestation, travail des enfants venus du Burkina Faso voisin, poussées par la faim et la sécheresse.
Photo: Paul Moreira au Café du Domaine de Penthes.
Archives: les Editions passées
14ème Festival du Film Vert du 1er mars au 15 avril 2019 dans 70 villes de Suisse et de France
Les prix du Festival ont été décernés le 2 mars 2019 lors de la journée d’ouverture à la Rote Fabrik de Zurich
Le 10ème prix Tournesol revient au film Les rivières volontes, d’Aurélien Francisco Barros, France, 2017 avec des images spectaculaires qui démontre le rôle central des forêts dans la formation des nuagesau à l’exemple de la forêt amazonienne. (en photo en présence du scientifique Gérard Ross, protaginiste du film). Le jury composé de professionnels du cinéma de France et de Suisse a également attribué un coup de coeur « coup de rage » à Vert de Rage: Indonésie, le fleuve victime de la mode, de Martin Boudot, France, 2017 parmi 6 films nominés.
Greenpeace récompense Anote’s Ark, du réalisateur suisse Matthieu Rytz (2018) qui montre les premiers effets concrets du réchauffement climatique sur les habitants de certaines îles du Pacifique, l’immersion totale imminente de l’île-nation de Kiribati. Le film sera projeté dans 8 sites du Festival du Film Vert. Le 1er prix FIFEL – Fondation Internationale du film sur l’énergie – Lausanne récompense le film Energie Pioniere, de Samuel Stefan révélant l’importance des idées novatrices dans le domaine de la transition énergétique; il dévoile la trajectoire d’individus dans leurs efforts et les obstacles inhérents à la mise en place de projets novateurs.
Pas moins de 320 projections auront lieu dans les trois régions lingustiques de Suisse et en France voisine dans 78 sites différents! Près de 70 films différents au sujet du réchauffement climatique, de la disparition de la biodiversité, de la pollution, de l’alimentation ou de questions plus pointues, suivis d’intervention de réalisateurs ou de spécialistes pour échanger avec le public – un lieu de rencontres et de réfléxions, mais aussi un endroit où l’on décide de passer à l’action. Programme.
13ème Festival du Film Vert du 1er mars au 15 avril 2018 dans 60 villes de Suisse et de France
Comme chaque année au printemps depuis 2006, le public de Suisse romande (et un peu au-delà) est invité à découvrir des films documentaires sur la nature, l’environnement et les enjeux écologiques de ces prochaines années. Après l’immense succès de l’édition 2017, avec une fréquentation en hausse de plus de 60 %, les organisateurs sont encore plus motivés et préparent un programme riche en films de qualité, mais prévoient aussi de nombreuses animations : réalisateurs et spécialistes seront présents pour enrichir les discussions qui suivront les projections, dans une ambiance agréable. Cette année, la soirée d’ouverture aura lieu à Monthey, au cinéma Le Kremlin, le samedi 3 mars 2018. Une programmation de documentaires sera proposée toute la journée en présence des réalisateurs et, en fin de journée, la soirée d’ouverture à proprement parler verra notamment la remise des prix du Festival. Le 9ème prix Tournesol sera remis à cette occasion par un jury international composé de professionnels du cinéma et de personnalités venues de France et de Suisse. Ce jury devra choisir parmi les 5 films nominés par le comité de sélection du Festival. Le Prix Greenpeace Suisse 2018 sera également décerné par la porte-parole de cette ONG, partenaire du Festival depuis 2009, et le Prix Fedevaco sera remis pour la troisième année par les représentants de la Fédération vaudoise de coopération. Et pour la première fois, le prix du concours de courts-métrages ouvert au public Green Shorts sera également décerné.
Comme chaque année, le comité de sélection du Festival a retenu un film principal, qui sera projeté pratiquement partout : il s’agit de L’intelligence des arbres. Ce film de Julia Dordel et Guido Tökle (Allemagne, 2017) va changer le regard que l’on peut porter sur le vivant, les arbres et les forêts. En s’appuyant sur de solides bases scientifiques, le spectateur est amené à comprendre à quel point une forêt est un éco-système complexe, vivant et formant un tout. Certaines expériences démontrent même que les arbres peuvent « communiquer » entre eux. Une quarantaine d’autres films traitant de sujets variés autour du développement durable au sens le plus large du terme seront présentés. Le comité de sélection privilégie les films qui sont constructifs, c’est-à-dire qui ne l’accablent pas et lui présentent des solutions. Cette volonté de recherche de solutions et ces réflexions à long terme sur notre avenir sont stimulées également par de nombreuses interventions prévues après les projections – l’une des marques de fabrique du Festival du Film Vert. En effet, la volonté de ce festival est d’être un espace de réflexion et de débat sur notre futur.
Journée d’ouverture du 12e Festival du Film Vert ce samedi 4 mars 2017 au Muséum d Histoire Naturelle, Genève qui fête cette année son 50 anniversaire.
Le festival proposera 239 projections de documentaires traitant de sujets liés à l’écologie présentés dans plus de 50 villes différentes en Suisse romane, en France mais également en Suisse alémanique jusqu’au 9 avril et devraient attirer plus de 10 000 spectateurs.
FEDEVACO a primé The true cost de Andrew Morgan (2015, USA), un film qui dénonce les conditions de travail de ceux qui fabriquent nos vêtements. Le 8e Prix Tournesol du Documentaire Vert a été attribué à Cargo, la face cachée du fret, de Denis Delestrac, France, 2016: Une enquête dans les coulisses de ce transport maritime, secteur d’activité le plus important et le plus puissant au monde au sein de l’économie globalisée en dévoilant le milieu opaque de ce transport maritimes, ses atteintes à l’environnement et d’importantes pertes fiscales.
En photo le jury, composé de Lisa Mazzone, conseillère nationale verte genevoise, pour Les Verts, Anna Zangger, avocate, conseillère juridique en matière de protection de la nature et des animaux, Hervé Groscarret, responsable unité Publics et Expositions du Muséum de Genève, Mathieu Coste, co-fondateur du média ChezNous et Antonin Haddad, représentant le Festival Film, Recherche et Développement Durable (FReDD) de Toulouse.
Le Prix Greenpeace Suisse a récompense
Futur d’espoir de Guillaume Thébault
(en photo recevant le prix) un film remarquable issue de son travail de maturité pour l’Ecole Steiner et qui tente de répondre u travers une quinzaine d’interviews à des question liés aux méthodes d’agricultures dites alternatives et s ils peuvent réellement nourrir de manière durable l’humanité. Le Coup de Coeur du festival: Tout s’accélère, un film de Gilles Vernet qui accompagne un ancien trader devenu instituteur sur sa quête: pourquoi nos sociétés recherchent-elles toujours plus de croissance auprès des experts. Le film sera montré dans les différents lieux du festival notamment à Genève du 5 au 9 avril au Muséum, au Cinélux, au Cinéma Bio à Carouge et à la Ferme de la Touvière à Meinier.
6e Festival du Film Vert, le cinéma pour un futur durable du 17 au 28 février 2011 en Suisse Romande
Dans le cadre du 6e Festival du Film Vert qui a eu lieu du 17 au 28 février dans 17 sites de Suisse romande, le 2ème Prix Tournesol du Documentaire Vert a été remis ce samedi 19 février à Nyon. Parmi les 29 films, cinq ont été nominés pour le Prix Tournesol du Film Vert: Pig Business, de Tracy-Louise Ward (UK), Main basse sur le riz, de Jean Crépu et Jean-Pierre Boris (F), Du poisson dans nos vêtements, de Inge Altemeier et Reinhard Hornung (D), Solutions locales pour un désordre global, de Coline Serreau (F), Mister Carbone, d’Yves Billy (F).
Le jury composé de journalistes et d’écologistes de France, de Belgique et de Suisse a donc choisi d’attribuer le Prix Tournesol du Documentaire Vert à Mister Carbone, en raison de la qualité du traitement d’une question particulièrement complexe: comment réussir à faire descendre le taux de CO2 dans l’air, responsable du réchauffement climatique. Le jury a apprécié que le réalisateur ne se contente pas de lancer quelques pistes déjà entendues partout, mais remette en question intelligemment les modèles économiques qui nous conduisent actuellement à l’impasse. Yves Billy, présent à Nyon, a reçu son prix des mains de Mme Laure Noualhat, qui avait gagné le Prix Greenpeace Suisse l’année dernière et qui représentait le jury.